In all this chaos, restless and alive,
Our echoing steps make the city thrive.
A blazing land where beauty ignites,
A Renaissance gem in sacred light.
From marble fountains flows the spring,
To quench a thirst no time could bring.
And blending in that golden hue,
The kind we sip the whole day through.
Pilgrims from every land may stray,
Or find their path along the way.
Some pause in awe, lost in her size,
To pose, to freeze her in their eyes.
This timeless town, a fleeting stay,
Makes us forget, along the way,
That others live a harsher theme—
A truth that shatters the postcard dream.
A view from the edge, where flaws reside,
With hidden sins the gloss can’t hide.
The very cracks that taint her grace,
Yet give her soul, a truer face.
— Her beauty, some might call cliché,
Indulged too long, worn by decay.
— But how not feel a gentle ache,
For relics time could never break?
And so collide these worlds so small,
Some love, some curse, yet know her all.
They lose themselves in alleys tight,
Still walking paths our kin once might.
Here’s The Original French Version
La ville au long du Tibre
Dans cette cohue où règne une agitation permanente,
L'écho de nos pas alimente le brasier de cette cité ardente.
Ce musée à ciel ouvert, fleuron de la Renaissance,
Où le culte est représenté dans sa plus grande magnificence.
Des fontaines de marbre blanc s'écoule l'eau de source,
Étanchant cette soif que l'on ne pensait plus apaiser.
Que dire alors de cet or brun auquel elle vient se mêler,
Celui qui, même "amélioré", se consomme au gré du jour.
Pèlerins de tous horizons s'égarent ou se retrouvent,
Les uns se fascinent devant sa grandeur accablante,
Le temps d'un instant, à se prêter au jeu de la pose,
À immortaliser ses vestiges, sa vitalité accaparante.
Ville éternelle de passage, elle nous ferait presque oublier
Que pour d'autres, elle est le fruit d'une tout autre réalité :
Un constat de périphérie, où se retrouvent bien des vices cachés,
Ceux-là mêmes qui pourraient corrompre l'étendue de sa beauté.
— Sa beauté est subjective, elle contraste d'authenticité,
À trop jouir de sa réputation, longtemps consacrée!
— Mais comment rester impassible, même insensible,
À la grâce de ses artefacts, de ses mémoires passées ?
C'est ainsi que se confond tout ce petit monde,
Qu'on l'aime ou qu'on la méprise, c'est selon,
Mais tous se perdent dans les minuscules ruelles sinueuses
Et continuent de polir les pavés déjà foulés par nos aïeux.
Did you recognize the city hidden between the lines?
Or maybe you have a place that stirs something deep within—
A city, a street, a corner of the world that still lives in you, long after you’ve left it behind.
Tell me: what place inspires you the way Rome does for me?
Drop your thoughts, stories, or even memories below—I’d love to read them. ✨
Peace & Bliss 🌍
Aaron!
🩷🧡
History and romantic nostalgia. Beautifully written Aaron!